Nanohybrides à coeur d'Oxyde de gadolinium pour le développement de sondes IRM multimodales
Institution:
Lyon 1Disciplines:
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Le caractère particuliaire permet de combiner plusieurs techniques de détection pour une meilleure fiabilité des résultats (imageries de fluorescence par résonance magnétique) ou d'effectuer plusieurs actions différentes mais complémentaires (diagnostic et thérapie). Sur ce dernier point, la plupart des travaux portent sur des nanoparticules à base d'or ou d'oxyde de fer. Une alternative originale aux nanoparticules dejà étudiées, pour combiner diagnostic et thérapie, pourrait concerner des nanoparticules hybrides à base d'oxyde de gadolinium : Gd203@SiOx[fluo]. Ces particules peuvent être détectées à la fois par luminescence grâce aux fluorophores organiques liés au réseau de polysiloxane enrobant le coeur et par des méthodes magnétiques, attendu que le gadolinium est largement utilisé comme agent de crontraste en IRM. De plus, son isotope 157 est cartaérisé par une forte section efficace de capture des neutrons, ces particules d'oxyde de gadolnium apparaissent comme un substitut très prometteur aux agents neutrophages actuellement utilisé en neutronthérapie. Les études ont montrées que ces nanoparticules pouvaient être suivis par des techniques d'imagerie optique et par résonance magnétique ; en in vitro, où les nanoparticules hybrides se sont relevées être des marqueurs cellulaire ; en in vivo, où, grâce à des modifications de la couche externe, ces nanoparticules ont pu être injectées par voie intraveineuse et dont leur suivis n'a pas révélé d'accumulation indésirable. Il ressort également de cette étude que les nanoparticules de Gd203@SiOx permettent d'améliorer la thérapie par capture neutronique