Le secret, l'énigme, le sens du mystère chez Freud, et le ressort du transfert
Institution:
Toulouse 2Disciplines:
Directors:
Abstract EN:
Between 1888 to 1901, the use of the word "secret" (geheimnis), "riddle" (ratsel) is frequent in the works of the psychoanalyst s. Freud. The secret is, at first, the traumatic fact, the true pathologistic event. The selbstanalyse of s. Freud, his better comprehension of the hysteric's psychism, his curiosity to witchcraft and the maleus maleficarum have contributed to surpass the seduction theory and the inquisitorial logic of avowel, by the discovery of transference. The spirit to learning forms his drive. Jacques lacan, french psychoanalyt, defines transference (1964) : it's the supposed know subject with a third position, standed by the analyst's desire. With clinical examples (dora, child's psycho-analysis) the secret is defined by the promise of a knowledge about the being. The subject, of j. Lacan, makes the trial of the fail of being. He continues, like this, the freudian discovery.
Abstract FR:
Entre 1888 et 1901, l'emploi du mot secret (geheimis), enigme (ratsel) est frequent dans l'oeuvre du psychanalyste s. Freud. Le secret est d'abord celui du fait traumatique, de l'evenement reel pathologique. La selbstanalyse de s. Freud, sa meilleure comprehension de la realite psychique des hysteriques, sa curiosite pour la sorcellerie et le malleus maleficarum ont contribue au depassement de la theprie de la seduction et de la logique inquisitoriale de l'aveu par la decouverte du transfert. Le pousse au savoir constitue leur ressort. Jacques lacan, psychanalyste francais, definit le concept de transfert (1964) ainsi : c'est le sujet suppose savoir en position tierce, sous tendu par le desir de l'analyste. A partir d'exemples cliniques (dora, psychanalyses d'enfants. . . ), le secret se defini par la promesse qu'il existe un savoir sur l'etre. Le sujet selon j. Lacan, fait l'epreuve du manque a etre. Il prolonge ainsi la decouverte freudienne.