thesis

La fonction de président de la République en Côte d'Ivoire face à la crise du pays depuis 2002

Defense date:

Jan. 1, 2010

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Institution:

Paris 5

Disciplines:

Directors:

Abstract EN:

Côte d’ivoire passed for the haven of peace to the 60 ethnos groups, a land of welcome fertilizes, a laboratory of the harmony postcoloniale. But, since the difficult succession of President Houphouet-Boigny in 1993, the country is in the storm. This one is marked by the coup d'etat of December 1999 and the war started in September 2002. They are soldiers - in rupture of engagement with an army in decomposition and the civil ones who started, on September 19, 2002, a rebellion which threatens the unit of the Côte d’Ivoire. This conflict plunges its roots in a ethnico-regional discrimination distilled since independence. Considered stable, the Côte d’ivoire is actually crossed by centripetal forces (the tribalism, xenophobia, the corruption, corrupt practice, discriminatory treatment of the religions. . . ). What denied many political actors of the Côte d’Ivoire by seeking goat-emissary elsewhere. In Côte d’Ivoire, The President of the republic is, the actor pivot, the backbone of the political life, it has as an obligation to determine and lead the policy of the Nation while ensuring the unit and the integrity of the territory. Thus, the situation that saw the ivory coast cannot be and should be which is the result of the policy of a person, management of a person: the president of the republic, first in the political institutions of the Côte d’Ivoire. We have draw up an assessment of the chaotic management of cultural, sociological diversity and chocolate éclair of the population of the Côte d’Ivoire which consequently brings occasion to include/understand the crisis of September 19th, 2002 but also to avoid another political crisis major.

Abstract FR:

La Côte d'Ivoire passait pour le havre de paix aux 60 ethnies, une terre d’accueil féconde, un laboratoire de la concorde postcoloniale. Mais, depuis la difficile succession du Président Houphouët- Boigny en 1993, le pays est dans la tourmente. Celle-ci est marquée par le coup d'Etat de décembre 1999 et la guerre déclenchée en septembre 2002. Ce sont des militaires - en rupture d’engagement avec une armée en décomposition- et des civils qui ont déclenché, le 19 septembre 2002, une rébellion qui menace l’unité de la Côte-d’Ivoire. Ce conflit plonge ses racines dans une discrimination ethnico-régionale distillée depuis l’indépendance. Réputée stable, la Côte-d’Ivoire est en réalité traversée par des forces centripètes (le tribalisme, la xénophobie, la corruption, la prévarication, traitement discriminatoire des religions. . . ). Ce que niaient beaucoup d’acteurs politiques ivoiriens en cherchant ailleurs des boucs-émissaires. Le Président de la république est en Côte d’ivoire, l’acteur pivot, l’épine dorsale de la vie politique, il a pour obligation de déterminer et conduire la politique de la Nation tout en assurant l’unité et l’intégrité du territoire. Ainsi donc, la situation que vit la côte d’ivoire ne peut être et devrait être que est le résultat de la politique d’une personne, de la gestion d’une personne : le président de la république, premier dans les institutions politiques ivoiriennes. Nous avons dressez un bilan de la gestion chaotique de la diversité culturelle, sociologique et religieuse de la population ivoirienne qui amène par la même occasion à comprendre la crise du 19 septembre 2002 mais également à éviter une autre crise politique majeur.