thesis

Apport de la r. M. N. De l'etat solide a l'etude de bioceramiques de phosphate tricalcique et de pathologies osseuses

Defense date:

Jan. 1, 1993

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Institution:

Paris 6

Disciplines:

Abstract EN:

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Abstract FR:

La composition et la structure de ceramiques commerciales de phosphate tricalcique ont ete tres efficacement analysees. Des divergences ont ete montrees avec la composition donnee par le fabricant. En ce qui concerne la mesure du taux de resorption de ces ceramiques a porosite variable, implantees dans des os de lapins, la quantification apportee par la methode est clairement etablie. Celle-ci recoupe des etudes precedemment au laboratoire de physique quantique. Dans le cadre de la continuite des travaux entrepris sur le phosphate tricalcique comme materiau de comblement osseux, l'etude de la phase a ete effectuee en r. M. N. Differentes syntheses de la phase n'ont pas abouti a la meme qualite d'echantillon. La synthese elaboree par l'equipe du professeur lemaitre s'est revelee excellente, puisqu'elle possede un rendement de 98%. Elle a fourni un echantillon presentant la resolution theorique de 16 pics de r. M. N. Tous les resultats issus de la r. M. N. Sont en accord avec ceux issus de la diffraction des rayons x. Seule la r. M. N. A permis d'obtenir un classement de qualite des echantillons. Dans un but a visee diagnostique, des prelevements osseux humains par r. M. N. Ont ete etudies, afin de rechercher l'existence de differents sites de phosphore, en particulier en fonction des pathologies. Ceci a conduit a faire prealablement des etudes comparatives complexes sur des composes phosphates de composition bien definie. L'observation de groupements hpo#4 et po#4 dans ces composes et l'adequation de la methode a obtenir les differents taux des groupements sus-cites ont permis de transposer ces mesures a celles des prelevements osseux. De telles differences dans ces prelevements n'ont pu etre observees, sauf pour les echantillons n1 et 7, et aucune caracteristique specifique n'a pu etre decelee dans l'etat actuel des techniques. En revanche, pour les fluoroses, la r. M. N. Du #1#9fluor de l'etat solide permet une differenciation de certains cas