thesis

Le Fonds monétaire international et la politique économique de Madagascar : 1973-1985

Defense date:

Jan. 1, 1993

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Institution:

Toulouse 1

Disciplines:

Directors:

Abstract EN:

The approach to discussion between the IMF and Malagasy gouvernment Is situated in the context of international relations. Madagascar faces many difficulties in its effort to reorganize the financial and monetary sectors and the economic problems. This study is divided into two parts : the first is devoted to analysis of causes IMF intervention's ; the impact of adjustement policy in Madagascar are discussed in the second. The gouvernment of Madagascar broad objectives for economic development are articuled in a new economic policy approved by IMF but the result of adjustement policy it will need to attain maximum efficiency with in the acutal situation.

Abstract FR:

Dans le contexte des relations internationales, quelle que soit l'optique dans laquelle on aborde les problèmes de developpement, les questions centrales aujourd'hui tournent autour de l'endettement, et on a vu réapparaitre, au premier plan, des organismes financiers internationaux (FMI, Banque mondiale). C'est dans un tel cadre que se situe notre étude des relations entre le FMI et Madagascar. La crise économique et financière connue par Madagascar, la montée des incertitudes et des instabilités extérieures. Le poids des contraintes financières liées notamment à l'explosion du service de la dette, conduisent le FMI à privilégier le retablissement des équilibres financiers et à donner la priorité aux politiques de réhabilitation, d'ajustement et de régulation conjoncturelles. La grande vague libérale, véhiculé par le Fonds, prônant le moins d'État et la privatisation, aurait-elle suffit à réduire le poids de l'État et à relancer les bases productives de l'économie malgache ? L'analyse de l'intervention du Fonds qui tend à remettre en cause la politique économique de Madagascar, vise aussi les programmes d'ajustement du FMI dans la mesure où ils ont tendance a être dépassés par les spécificités socio-économique du pays aidé, ce qui explique les résultats plutôt relatifs. Cela relance l'eternel problème de financement des PVD.