thesis

Les trajectoires d'insertion des nouveaux habitants à la périphérie des villes

Defense date:

Jan. 1, 2003

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Institution:

Toulouse 2

Disciplines:

Directors:

Abstract EN:

Today, distant suburban councils essentially have a residential mission. The important mobility of its inhabitants and the difficulty of being a real life place caracterize them. Yet, participants mobilization and local actions use in these spaces reveal a new organization of local structures and a new participants allocation. The question about the appropriation of this space by its inhabitants proposes a reflexion about contextual elements which could take an active part in inhabitants participation in Toulouse distant suburban councils. Which actions could encourage new forms of participation in these councils ? How could local participants (councils-associations-residents) act on inhabitants councils inscription ? Could these distant suburban councils finally be real belonging spaces ?

Abstract FR:

Les communes périurbaines ont aujourd'hui une vocation essentiellement résidentielle. Elles sont caractérisées par une grande mobilité de leurs habitants et par une difficulté importante à émerger comme un lieu de vie à part entière. Pourtant, la remobilisation des acteurs et l'émergence ou la réutilisation de modalités d'actions au sein de l'espace communal périurbain laissent entrevoir une nouvelle organisation des structures locales et une nouvelle répartition des acteurs. La question de l'appropriation de l'objet communal par les périurbains propose donc une interrogation sur les actions, les acteurs mais aussi les éléments contextuels pouvant participer plus ou moins directement à la pratique de cet espace dans la périphérie de l'agglomération toulousaine. Quelles actions susceptibles de favoriser de nouvelles formes de participations sont identifiables au sein des espaces périurbains ? Dans quelles mesures les acteurs locaux retenus peuvent intervenir sur l'inscription et l'appropriation de l'espace local par les périurbains ? Au final, ces communes sont-elles susceptibles de constituer de véritables territoires d'appartenance ?