thesis

Etude de la relation "averses-crues" : application d'un modèle global et essais de mise au point d'un modèle distribué sur le bassin versant du Bam-Bam (Tchad)

Defense date:

Jan. 1, 1992

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Institution:

Avignon

Disciplines:

Directors:

Abstract EN:

The Bam-Bam catchment area is about 1196 km2. It is located in the sahelian region and its comprised by five jointed watersheds of different surfaces. The dynamic study of mrainfalls reflects the characteristics of precipitation (homogeneity of form, spatial distribution) in the sahelian region in general. A hydrological model based on the unit hydrograph technique is used with aim of analysing and predetermining the floods for each sub-watershed. The resulds obtained by a humped model approach show the predominance of surface runoff in comparison with the other types of runoff (base runoff, delayed runoff). An attempt using a distributed model shows that, for the watersheds greater than 100 km2, direct runoff is not predominant. In order to improve modelisation in the sahelian region, we suggest the application of a process which takes into account other factors (geomorphogical, pedological)

Abstract FR:

D'une superficie de 1196 km2, le bassin versant du Bam-Bam est situé en région sahélienne et constitué de cinq bassins emboités de differentes tailles. L'étude de la dynamique des pluies sur le bassin, reflète les caractéristiques pluviométriques (homogénéite des formes, répartition spatiale) du Sahel en général. Un modèle hydrologique fondé sur la technique de l'hydrogramme unitaire est appliqué à chacun des bassins, avec comme objectif l'analyse et la prédétermination des crues. Les résultats satisfaisants obtenus en approche globale, confirment dans une certaine mesure, la préponderance du ruissellement rapide par rapport aux autres types d'écoulements (écoulement retardé, écoulement de base). La tentative d'approche distribuée révèle l'importance d'un autre type d'écoulement que le ruissellement rapide pour les bassins de superficie superieure à 100 km2. Nous suggérons une démarche tenant compte d'autres facteurs (géomorphologiques, pédologiques) en vue d'une amélioration probable de la modélisation hydrologique dans le Sahel