Abstract FR:

Célestin Freinet était un innovateur. Avec ses connaissances en pédagogie, il était capable de les distiller en: la méthode freinet. Les racines intellectuelles de Freinet expliquent les origines de ses idées. Vu son appétit intellectuel, il accaparait les idées des autres et les incorporait dans les siennes. Il était le critique pour un nombre de revues et recevait un grand nombre de livres, journaux, etc. . . A analyser. Freinet était influence par: Piaget, Pestalozzi, Ferrière, Decroly, Rousseau, John Dewey, Montaigne, Taggore, Sanderson, Makarenko, Paul Geheeb et Paul Robin. Un autre aspect de Freinet dérive des croyances politiques et philosophiques qui ont toujours joué un rôle important dans les révolutions du monde de l'éducation : cette étude accentuera les années fructueuses (1917-1952). La méthodologie pour développer cette section consistera a analyser les articles écrits par Freinet en conjonction avec les événements politiques autour de lui. Pour enseigner les fils des pauvres travailleurs, il utilisa des échappatoires qu'il avait trouve dans les instructions du Ministère de l'éducation. Il était critiqué pour ses idées et glorifié pour sa hardiesse et sa pédagogie a survécu. Bien qu'il n'y ait seulement qu'une école Freinet, le mouvement Freinet a survécu avec beaucoup de difficultés. Dans le système éducatif d'aujourd'hui, beaucoup des principes pédagogiques de Freinet sont mandatés et inclus. Dans les pays influencés par Freinet, il y a un renouvellement d'intérêt pour la "modernité de Freinet. " la méthodologie est de lire Freinet et ses collaborateurs et d'analyser comment sa pédagogie est utilisée aujourd'hui. Un aspect de cette étude détaillera les problèmes de Freinet avec l'éducation nationale comme communiste, et les problèmes avec le PCF. Bien qu'il était membre du parti depuis 1922, le parti l'attaquait parce qu'il était trop modéré, et le PCF pro-stalinien. L'aile intellectuelle n'acceptait pas les penseurs indépendants. En avril 1950, Snyders et Cogniot critiquent Freinet dans la nouvelle critique, pour son refus d'aligner son enseignement à celui recommandé par le PC. Ces attaques auraient pu cesser, si Cogniot avait publié dans la nouvelle critique une lettre de Freinet du 12 juin 1951. Cette lettre "oubliée", était dans le fond Cogniot, des archives de Saint Denis