thesis

Towards a model of mathematics attitudes formation : Through the child's perception of social agents and self-beliefs

Defense date:

Jan. 1, 2011

Edit

Institution:

Strasbourg

Disciplines:

Authors:

Directors:

Abstract EN:

In mathematics education research, less work is documented on theorizing mathematics attitude and its formation process, especially in Pakistani context. Therefore, this study proposed a multi-dimensional concept of mathematics attitude based on two components (mathematics interest & mathematics belief). Further, it was theorized in the model that, the student’s evaluative inclinations about mathematics are the results of his private knowledge, constructed as a consequence of prior beliefs and affective reactions with mathematics, under the influence of psychological and social factors. Total 1499 students (671girls & 821boys) of grade six and nine from ten schools of Pakistan participated in this study. Results indicated that girls possessed significantly more positive “maths need belief”, while boys hold significantly more positive interest in the dimension of “enjoy doing maths”. Regarding parents’ education effect, low level of education caused strong “maths need belief” in students. In the hypothetical model, teacher affect significantly positive the mathematics attitude than parents, mediated through student’s maths self-concept and self-efficacy. Within the components of attitude, causality direction was found better from interest to belief. This research concluded that students’ differences in mathematics attitude are caused by the societal needs and expectations developed by parents and teachers, sometimes accompanied by stereotypic beliefs, which affect a boy and a girl differently. Findings of this study demand a review of already done researches on gender differences in mathematics attitude in the light of dimensional concept, proposed in this research.

Abstract FR:

La revue de littérature montre que dans le cadre théorique, le concept d’attitude envers les mathématiques n’a pas été l’objet de suffisamment d'attention. Cette étude propose une vue multidimensionnelle de l'attitude envers les mathématiques basée sur deux composantes: l’intérêt et la croyance. Nous proposons un modèle théorique de formation de l’attitude. Dans ce modèle, nous faisons l’hypothèse que les tendances évaluatives de l’élève de cette discipline (qui deviennent l’attitude) sont le résultat de la connaissance personnelle, construite en conséquence de sa croyance et de ses réactions affectives antérieures dans cette discipline, et se développent sous l’influence de facteurs psychologiques et sociaux. En tout 1499 élèves (678 filles et 821 garçons) de la 6ème et de la 9ème classe dans 10 écoles du Pakistan ont participé à l'enquête finale. Dans cette étude, les filles ont montré une attitude positive en ce qui concerne la «croyance de besoin», alors que les garçons ont montré une attitude positive en termes de «plaisir». Par ailleurs, on a découvert que le bas niveau d’éducation des parents a une influence positive sur la « croyance de besoin » des mathématiques chez les élèves. De plus, l’analyse de notre modèle a montré que l'influence de l’enseignant, plus forte que celle des parents, passant par le concept de soi et l'auto-efficacité en mathématiques des élèves, développe un effet positif sur l’attitude. En outre, dans le cadre de l’attitude, la direction de causalité a été trouvée meilleure de l’intérêt vers la croyance. Cette étude ouvre la porte à revisiter les études sur genre et attitudes en utilisant notre analyse conceptuelle multidimensionnelle.