Technologies avancées, Chance ou handicap pour les pays en développement : le cas de l'Afrique de l'ouest
Institution:
Paris 1Disciplines:
Directors:
Abstract EN:
After over 25 years of independance, west africa still experiences the damages of using conventional techniques not very adapted to its economic and social environment. Can the new technologies be a source of hope for this part of the world ? Biotechnologies, thanks to their special characteristics can help struggling against famine, desertification, tropical illnesses as well as for developing rural integrated systems. The data processing technologies, alone or associated with biotechnologies can also helph this region for training, to accede to data as well as to the economy of productive ressources. The present orientation of the developing of new technologies doesn't seem to favor under-developed countries. So that the hopes raised by these technologies de not become vain, a close cooperation between the research centers of developed countries and those of africa seems indispensable. Only the political will expressed at the national and international level would give a decisive impulse to such a cooperation.
Abstract FR:
Après plus de vingt-cinq ans d'indépendance, l’Afrique de l'ouest connait encore les méfaits de l'utilisation de technologies conventionnelles peu adaptées à son environnement économique et social. Les nouvelles technologies peuvent-elles être source d'espoir pour cette partie du monde ? Les biotechnologies grâce à leurs caractéristiques particulières peuvent aider à la lutte contre la famine, la désertification, les maladies tropicales ainsi que pour le développement de systèmes ruraux intégrés. Les technologies de l'information, seules ou associées aux biotechnologies peuvent également aider cette région à la formation, à l'accès aux données ainsi qu'à l'économie de ressources productives. L'orientation actuelle du développement des nouvelles technologies ne semble pas favorable aux pays sous-développés. Afin que les espoirs suscites par ces technologies ne soient pas vains, une coopération étroite entre centres de recherche des pays développés et ceux de l’Afrique semble indispensable. Seule la volonté politique exprimée au niveau national et international saurait donner une impulsion décisive à une telle coopération.