thesis

Étude des partenaires protéiques du transporteur de la dopamine et caractérisation des phénotypes nicotinique et dopaminergique des souris invalidées pour le gène de la protéine STOP

Defense date:

Jan. 1, 2006

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Institution:

Paris 12

Disciplines:

Abstract EN:

In a first part, I tried to characterize the interaction between the dopamine transporter and two protein partners : ACIII and sh2bp1. In a second part, I studied mice devoice of the microtubule protein STOP, which could represent a pertinent model of schizophrenia. Given the high prevalence of smokers among schizophrenics and the implication of dopamine in this pathology, I decided to study the nicotinic and dopaminergic phenotypes of these mice. Mutant animals show alterations in the density of some nicotinic and cholinergic components, locomotor hypersensitivity to nicotine and defects in associative memory, reversed by administration of choline, an alpha7 receptor agonist. In addition to anomalies in the density of some dopaminergic receptors, mutant mice show a hypersensitivity to cocaine and a behavioural sensitization to this drug. This new data reinforce the pertinence of this model and support further experiments to complete the characterization of this model.

Abstract FR:

Dans une première partie, j'ai tenté de carctériser l'interaction du transporteur de la dopamine avec deux protéines partenaires. Ensuite, j'ai étudié les souris invalidées pour le gène de la protéine associée aux microtubules STOP, qui pourraient constituer un modèle d'étude pour la schizophrénie. Étant donnée la forte prévalence de fumeurs chez les schizophrènes et l'implication de la dopamine dans cette pathologie, je me suis intéressée aux phénotypes nicotinique et dopaminergique de ces souris. Les mutants montrent des altérations de composants nicotiniques et cholinergiques, une hypersensibilité locomotrice à la nicotine et un déficit de mémoire associative, restauré par la choline, agoniste des récepteurs alpha7. En plus des anomalies de densité de récepteurs dopaminergiques, les mutants montrent une hypersensibilité à la cocaine et une sensibilisation comportementale à cette dorgue. Ces résultats incitent à approfondir l'étude de ce modèle animal pour la schizophrénie.