thesis

Purchasing power : the political economics of authoritarianism, natural resources, and budget cycles

Defense date:

Jan. 1, 2013

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Abstract EN:

This PhD dissertation in political economics consists of three independent papers that investigate different aspects of the interaction between public resource allocation and economic outcome. While the willingness to acquire and maintain political power figures centrally in each of the three papers, the institutional environments and the questions addressed vary. The first paper asks, What fiscal tools do political leaders use to improve their chances of remaining in power in low-income countries, and how do they use them? The second paper asks, Do voters in the American states reward spending growth differently when the state resources rely heavily on oil revenues? Finally, the third paper asks, What economic growth dynamics may we expect from a country where the authoritarian leader, whose survival in power depends on the share of the population supporting him, makes the trade-off between investing in his own support or in the nation’s future economic prosperity?

Abstract FR:

Cette thèse de doctorat en économie politique se compose de trois chapitres indépendants qui enquêtent sur les différents aspects de l’interaction entre l’allocation des ressources publiques et le résultat économique. Bien que la volonté d’acquérir et de conserver le pouvoir politique figure centralement dans chacun des trois chapitres, les environnements institutionnels et les questions abordés varient. Le premier chapitre pose, Quels outils fiscaux utilisent les dirigeants politiques pour améliorer leurs chances de rester au pouvoir dans les pays à faible revenu, et comment les utilisent-ils? Le deuxième chapitre pose, Est-ce que les électeurs dans les États Unis d’Amerique récompense différemment de des dépenses publique lorsque les ressources de l’Etat s’appuient fortement sur les revenus pétroliers? Enfin, le troisiéme chapitre demande, Quelle dynamique de croissance économique peut-on attendre d’un pays où le leader autoritaire, dont la survie au pouvoir dépend de la proportion de la population le soutient, fait le compromis entre investir dans son propre support ou dans le prospérité économique future du pays?