Identités religieuses et identités urbaines dans l'espace funéraire en Aquitaine et en France (XVIIIe-XXIe siècles)
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Abstract EN:
The research focuses on burial spaces and urban contemporary, in Aquitaine and France eighteenth century to twenty-one century. Both terms of burial space and urban space are defined as actual or theoretical scene involving the implementation of a cultural construct and/or hardware, including a historical dimension necessarily. Space burial involves the implementation of measures relating to the treatment of the body, on a field ranging from intimate and individual perception to perception collective. Urban space has been specially built to reflect the multiplicity of definitions of town, including those both physical and geographical than to theoretical value. In the links of its two spaces, we seek to collect the construction of religious and cultural identities: their evolution and the relationship to urban areas. The research takes into account two main treatment modalities of the strips, who are burial and cremation, and seeks both to identify historicity singular related to contemporary gestures, to define the relationship of citizens to the urbanity and location in an area. The research is particularly keen to describe the plastic forms local geography heritage and implementation of migration, with the choice of burial sites or cremation. It aims to highlight the importance of the necropolis in the city, to identify what are the new places of burial of expression respecting urban historical developments. The behaviour of local or migrant sedentary compared to the space funeral arouse greater attention, fostering the perception of individual and collective behaviour, as well as the factors of urban integration.
Abstract FR:
La recherche porte sur les espaces funéraires et urbains contemporains, en Aquitaine et en France au XVIIIe siècle. Les deux termes d’espace funéraire et espace urbain sont définis comme des lieux réels ou théoriques impliquant la mise en œuvre d’une construction culturelle et/où matérielle, comportant une dimension nécessairement historique. L’espace funéraire implique la mise en œuvre de mesures relatives au traitement de la dépouille, sur un champs allant de la perception intime et individuelle, à la perception collective. L’espace urbain a été spécialement construit pour rendre compte de la multiplicité des définitions historiques de la ville, incluant tant celles matérielles et géographiques que celles à valeur théorique. Dans les liens de ces deux espaces, nous cherchons a percevoir les constructions des identités religieuses et culturelles : leurs évolutions et les rapports à l’espace urbain. La recherche prend en compte les deux principales modalités de traitement de la dépouille que sont l’inhumation et la crémation, et s’attache aussi bien à identifier les historicités singulières liées aux gestes contemporains, qu’a définir les rapports des citoyens à l’urbanité et à l’implantation dans un territoire. La recherche s’attache particulièrement à décrire les formes plastiques locales, la géographie patrimoniale et l’implantation migratoire, par le choix des sites d’inhumation ou de crémation. Elle vise à mettre ne valeur l’importance de la nécropole dans la ville, à identifier quels sont les nouveaux lieux d’expression du funéraire respectant les évolutions historiques urbaines. Les comportements des populations locales sédentaires ou migrantes par rapport à l’espace funéraire suscitent une attention plus marquée, favorisant la perception des comportements individuels et collectifs, ainsi que les facteurs d’intégration urbaine.