thesis

Interactions didactiques et pratiques d'enseignement, le cas de la proportionalité au collège

Defense date:

Jan. 1, 2001

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Institution:

Paris 7

Disciplines:

Law and social sciences

Authors:

Directors:

Abstract EN:

Nowadays in the secondary school mathematics, lesson, that usually has institutionalisation and decontextualisation functions, seems to have a lower place. Knowledge institutionalisation is probably made in a less formal way. Moreover, using software in which explanations are available raises for the teacher the problem to connect his discourse to these explanations. In order to study these two aspects of teaching and how knowledge is built in the classroom (management of his project by the teacher, student's and teacher's role in knowledge building), we study the teaching on different scales and focus on interactions between teachers and students. We observed proportionality teaching in different contexts (a teacher A with and without software, a teacher B without software). We expected many interactions because, in this subject, there are a lot of exercises to do and little knowledge to teach. . .

Abstract FR:

Dans l'enseignement actuel des mathématiques au collège, la place de la leçon qui permet d'institutionnaliser et de décontextualiser les savoirs semble réduite. L'institutionnalisation se fait donc probablement de façon plus informelle, ce qui peut avoir des répercussions sur l'apprentissage. Par ailleurs, l'utilisation de logiciels qui proposent des explications soulève le problème de l'articulation du discours du professeur avec ses explications. Pour étudier les pratiques d'enseignement, comprendre comment le professeur gère l'avancée de son projet et comment se construisent les connaissances dans la classe, nous faisons une étude à différentes échelles jusqu'aux interactions didactiques entre le professeur et les élèves. Le thème de la proportionnalité laisse présager des interactions nombreuses car il y a beaucoup de types d'exercices et peu de savoir à enseigner. Nous observons trois contextes : un professeur A avec et sans logiciel, un professeur B sans logiciel. . .