thesis

La tarification des services bancaires : le chèque

Defense date:

Jan. 1, 1990

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Institution:

Rouen

Disciplines:

Abstract EN:

Principal instrument for paying transactions, the cheque is the centre of a polemic initiated by the banking profession. This good freely offert, but possessing a cost, cause over-consumption at the origin of the payement means management deficit. Desinflation, since 1980, discover a costs progression higher than the growth rhythm of prices general level while the uses return make an faster adjustement to the macrofinancials data variations. Therefore, banking profitability depends on a tariff equalizations system which compensate the cheque null price by a taxation, taking a margin form, that penalize retailers rates. Meanwhile, competition penetrate national financial space and oblige to more transparency, then competitivness. Solution reside into a banking services generalized tariffing, private logic of act paying supplant public service spirit attached to the cheque. Progressive, tariff plan is composed of a fixed part, the all-in-price, and a variable part resulting on the account average balance, which provide free operations, but disappear, at least, with the memory card advent.

Abstract FR:

Principal instrument de règlement des transactions, le chèque est au centre d'une polémique initiée par la profession bancaire. Ce bien offert gratuitement, alors qu'il possède un coût, provoque une surconsommation à l'origine du déficit de la gestion des moyens de paiement. La désinflation, depuis les années 80, découvre une progression des coûts supérieure au rythme de croissance du niveau général des prix alors que le rendement des emplois s'ajuste plus rapidement aux variations des données macro financières. Par conséquent, la rentabilité bancaire repose sur un système de péréquations tarifaires qui compense le prix nul du chèque par une taxation, sous la forme d'une marge, qui pénalise les taux débiteurs. Cependant, la concurrence pénètre l'espace financier national et l'oblige à davantage de transparence, donc de compétitivité. La solution réside dans une tarification généralisée des services bancaires, la logique privée du paiement à l'acte supplante l'esprit de service public attaché au chèque. Progressif, le projet tarifaire se compose d'une partie fixe, le forfait, et d'une partie variable fonction du solde moyen en compte, qui donne droit à des opérations gratuites, mais qui disparait avec l’avènement de la carte à mémoire.