thesis

Feu la révolution. Cendres philosophico-christiques : (Une possibilite impossible de conjuguer le verbe sortir)

Defense date:

Jan. 1, 2009

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Institution:

Poitiers

Disciplines:

Abstract EN:

The revolutionary act will have been certainly here (the attempt of) the impossible manifestation of the “absolute wrong”, in its new and ethical formulation, coded under the name of genocide. This One, we know henceforth, is the act of not taking the Other seriously. Thus the refusal to answer him or her: to deny him, or her, in brief. Now, the negation of the other is the rejection of the Word of Christ, which calls to the heart. And the heart carries the Other to the point that, with the finger and on the earth, Christ established the Women's Liberation from the snares of all those stones and all those trials; but also and especially at this crucial point when sounded as an information and a reminder to the Father of the mission of the Son: "Forgive the unforgivable", which is the longing and an experience of the " heart which will always be on the side of life. " That is exactly the center of the Word of Christ, which would help us to bandage/to think the "tumor" that stems from “the absolute wrong'', that we have translated as "genocides".

Abstract FR:

L'acte révolutionnaire aura été ici assurément (la tentative de) l'impossible sortie du « tort absolu », dans sa formulation nouvelle et éthique, cryptée sous le nom de génocide. Celui-ci, nous le savons dorénavant, est la non prise de l'Autre au sérieux. Donc le refus de répondre de lui ou d'elle : le, la, nier, en un mot. Or, la négation de l'Autre est la non réception de la Parole christique, qui en appelle au cœur. Et le cœur porte l'Autre au point où, avec le doigt et sur la terre, le Christ consignait la libération de la femme des rets de toutes ces pierres et tous ces Pierres ; mais aussi et surtout à ce point crucial et crural où sonna comme un avertissement et un rappel au Père la mission du Fils : « pardonner l'impardonnable », qui est un élan et une expérience du « cœur qui sera toujours du côté de la vie. » C'est bien là le cœur de la Parole christique, qui pourrait nous aider à panser/penser la « tumeur » que constitue « le tort absolu », que nous avons traduit par « génocides ».