Trade liberalization and foreign direct investment : the case of Mexico
Institution:
Paris, Institut d'études politiquesDisciplines:
Directors:
Abstract EN:
The liberalization of the Mexican economy came about along three lines. First through Mexico’s inclusion in the GATT in 1986. The second line of trade liberalization was entry to a number of regional trade organizations. The third line of trade liberalization was the beginning of negotiations to for the North American Free Trade Agreement (NAFTA), which includes Canada, the United States and Mexico. Nafta came into force in 1994 and was the first in a series of bilateral agreements. The achievements of the liberalization process are clear: controlled inflation; the public deficit has ceased to be a problem. But something is missing: GDP growth during the liberalization period has been lower than during the stabilizing development phase from 1958 to 1970. The successes of the liberalization processes in Chile, Brazil and South Korea show that they have been performed better than in mexico: one characteristic shared by these three countries in their trade liberalization process is the emphasis on better education and promoting research and development. The low productivity in Mexico, mainly when it is compared with other countries, is multi-causal. Low productivity influences in a low competitiveness, which is obtained so far in low wage costs in the Mexican economy. Mexican goods enjoy the absolute advantaje of distance as regards their main market, the USA; but mexican products see threatened this advantage by the countries with more human capital formation competitive advantage, including China. It is necessary to change the model of doing business in the Mexican economy.
Abstract FR:
L'ouverture de l'économie mexicaine a été donnée par trois voies : 1) à travers l'inclusion du Mexique dans l'organisme directeur du commerce international, le GATT, pendant l'année de 1986. 2) l'intégration à différents organismes régionaux de commerce. 3) les négociations pour conformer un secteur de libre commerce vers le nord : le Traité de libre commerce d'Amérique du Nord. Cet accord est entré en vigueur en 1994, et ça a été le premier d'une série d'accords bilatéraux. Les réalisations du processus d'ouverture sont à la vue : p l’inflation est contrôlée ; le déficit public n'est pas plus un problème. Mais la croissance du PIB a été plus petite pendant le processus d'ouverture que pendant la période du développement stabilisateur des années 1958 à 1970. Les processus d'ouverture du Chili, du Brésil et de la Corée du Sud démontrent avec ses succès qu’ils ont été menés à bien, mieux que dans le cas mexicain. Une caractéristique que partagent ces trois pays dans leur processus de libéralisation commerciale est l'emphase dans une meilleure éducation et l'élan à la recherche et au développement. La basse productivité au Mexique, comparée avec celles des autres pays analysés, est multi causale. La basse productivité influence une basse compétitivité, et cette compétitivité mexicaine est obtenue pour l'instant dans de bas coûts salariaux. Les biens mexicains, bien qu'ils jouissent de l'avantage absolu de la distance à son principal marché, les Etats-Unis, voient menacée cet avantage par l'avantage compétitif de la formation de capital humain des pays mentionnés, en plus de la Chine. Il est nécessaire de changer le modèle de faire des affaires dans l'économie mexicaine.