Abstract FR:

Cette recherche doctorale exige une étude en plusieurs temps afin de présenter premièrement, le rapport possible entre d’un côté l’homme en tant que « référence de l’infinie » et de l’autre côté, la source perpétuelle qui est désignée par l’acception de « référence infinie ». Deuxièmement, on soulignera que ce rapport peut être perçu comme la préoccupation essentielle dans la Grèce du IVe siècle av. J.C. que ce soit dans le mythe, l’épopée, la tragédie et surtout, ce qui semble le plus important, dans la philosophie de Platon. Ainsi, on questionne ce rapport selon les deux principes suivants : « le principe d’identité » et « le principe d’altérité ». En effet, il est indispensable de préciser que ce sujet qui se trouve toujours être l’une des problématiques fondamentales des sciences humaines est présenté de manière différente chez Platon. C’est la raison pour laquelle, on étudie finalement ce rapport à travers la théorie des Formes qui apparaît être la théorie la mieux adaptée à cette étude. Ce qui éveille le plus mon intérêt dans ce sujet de recherche, c’est d’étudier les rapports proches sur cette question, entre les textes homériques, la tragédie grecque et la philosophie de Platon. Sur ce point, je serai d’ailleurs en désaccord avec l’érudition traditionnelle qui affirme qu’il y a une rupture entre les textes littéraires grecs et la philosophie platonicienne. De plus, la principale problématique de Platon porte sur la manière de constituer une liaison positive entre ces deux références.