Fonction du mensonge dans la pensée : modalités du sujet de la falsification
Institution:
Paris 8Disciplines:
Directors:
Abstract EN:
The concept of lying is immediatly set as a negative concept, or ever a incarnation of radical bad action ; the history of all philosophy confirms that the fact of lying can be identified as a radical sin. However, the fact oh lying acts over is misundestanding, can succed against the suspicion it claims. As a production of effects, it is able to preserve , in this way, a form of resistance against a sort of lack of veridicty. The fact is not to “ legitimate ” nor “ inhibate ” lying words, but to delimitate that action as a apropriate modality of human being while he is actually living. Telling there is lying as a current possibility to make up a way of living means that there is actually a exception from the law of veridicity in the possible construction of subjective category. To lie is, in this way, a pure fiction, which means that any definition of a subject depends on a situation, no any nature, and affirms in fact ther is no verity except a “ act verity ”, or ever a verity valid within the hability of resist againts any way of lying, in a particular situation.
Abstract FR:
Le mensonge est posé d’emblée comme une catégorie philosophique négative, ou une catégorie du mal, une hypothèse catastrophique, confirmée par toute l'histoire philosophique du mensonge qui assimile le mensonge à une forme de mal radical. Pourtant le mensonge survit à sa dénonciation, à son soupçon. Comme production d’effets, il maintient dans l’horizon d’un idéal de véridicité, une forme de résistance. Il s’agit, non pas de “ légitimer ”, ni “ inhiber ” le mensonge, mais le délimiter, comme une modalité propre de la situation de l’existant humain. Il s’agit de poser les conséquences de la constatation modale des effets de mensonge, preuves de l’exception possible, conséquences qui seront dites “ conséquences dans un système de pensée du sujet ”. L’exégèse du mensonge dans ses modalités conduit à considérer le phénomène mensonger comme une modalité intelligible du sujet, permettant de comprendre la tentation effective du mensonge dans un rapport à la vérité. Le mensonge se révèle comme fiction pure, qui opère l’efficience du sujet sur le devenir situationnel, sous le principe qu’il n’y a de vérité en acte qu’une vérité du multiple : une “ vérité fictionnelle ”.