Rencontres et violences dans "Nadja" d'André Breton et "Beauté baroque" de Claude Gauvreau
Institution:
Paris 4Disciplines:
Directors:
Abstract EN:
“Meetings and violences in Nadja of André Breton and Beauté baroque of Claude Gauvreau” is a comparative study between two accounts whose many similaries are striking several aspects. The srudy is focused in turn on the bottom and the form of the two accounts. It initially undertakes a thorough analysis their generic characteristics before being focused on the sets of themes which they convey. The principal tackeld subjects are the design of the novel monist such as it is presented to us by Gauvreau. , on a side; and other, sour criticisms emitted by Breton on the very short novel. The other treated topics are the language, the fortuitous meeting, the objective chance, violence and the insane love. The two accounts are completed on tragic facts that the study tries to explain. The principal character of Breton, Nadja in fact, will sink in a state of madness close to the insanity; while Muriel, the heroin of Gauvreau, commits suicide.
Abstract FR:
« Rencontres et violences dans Nadja d’André Breton et Beauté baroque de Claude Gauvreau » est une étude comparative entre deux récits dont les nombreuses similitudes sont frappantes sur plusieurs aspects. L’étude se focalise tour à tour sur le fond et sur la forme des deux récits. Elle entreprend dans un premier temps une analyse approfondie de leurs particularités génériques avant de se focaliser sur les thématiques qu’ils véhiculent. Les principaux sujets abordés sont la conception du roman moniste tel qu’il nous est présenté par Gauvreau, d’un côté ; et de l’autre, les critiques acerbes émises par Breton sur le roman tout court. Les autres thèmes traités sont le langage, la rencontre fortuite, le hasard objectif, la violence et l ‘amour fou. Les deux récits s’achèvent sur des faits tragiques que l’étude essaie d’expliquer. Le personnage principal de Breton, Nadja en l’occurrence, va sombrer dans un état de folie voisin de la démence; tandis que Muriel, l’héroïne de Gauvreau, se suicide.