thesis

Le testament perpétuel de la disparition

Defense date:

Jan. 1, 2000

Edit

Institution:

Paris 1

Authors:

Directors:

Abstract EN:

Pas de résumé disponible.

Abstract FR:

Le testament perpétuel de la disparition s'articule en quatre parties distinctes : la première nommée "partie analytique", la deuxième nommée "para-analyse", la troisième nommée "partie-fictionnelle" et la quatrième nommée "travaux-fictionnels". Partie 1 : partie analytique cette partie s'articule en trois chapitres qui développent l'aspect théorico-analytique du testament perpétuel de la disparition. C'est une position théorique qui met en place une vision analytico-discursive, comme possibilité d'une autre lecture et interprétation de la recherche en question. Partie 2 : para-analyse je propose une para-analyse ( para = à côté et contre ) pour marquer tout de suite une distinction de t'analyse tout court et de ses fonctions d'introspection. Cette partie s'étend à travers un langage qui s'en suit et qui suit une logique de "chute du sens analytique", pour se propager d'une façon singulière à côté de la partie fictionnelle sans en être tachée et en même temps pour se propager contre sa propre analyse ou tentation analytique. Dans cette partie on trouve une mise en scène des courts-circuits du langage analytique, avec un saut au-delà de son propre sens, pour une prise pata-physicienne de la vision du signe transforme en signal "perpétuel" dépourvu de passe arbitraire (le signe), malgré son indiscutable fonction historicolinguistique. Partie 3 : partie fictionnelle l'écriture devient un acte plastique, un geste sans limite de démultiplication des états grammaticaux et logiques. Dans cette partie. L'écriture tombe dans le trou noir ou trou blanc, pour s'absorber et absorber tout fonction, du mot et s'oublier dans un magma plastique insaisissable. On est dans l'écriture plastique qui dérobe les responsabilités d'une quelconque fonction pour se retrouver dans une articulation purement fictionnelle. Les textes n'ont jamais ni début ni fin étant donne que l'on est dans le testament perpétuel de la disparition ou chaque élément est déjà au milieu de tout déroulement textuel. Partie 4 : travaux fictionnels ii s'agit de travaux plastiques qui n'accompagnent pas le testament perpétuel de la disparition mais qui en font parties absorbantes dans leur singularité. On utilise toujours le mot projet pour donner à l'installation une nième possibilité de changement et de court-circuit avec le reste du texte.