Les extrêmes distincts : la configuration de l'espace dans les sociétés ayant bâti des tertres funéraires dans le nord-ouest ibérique
Institution:
Paris 1Disciplines:
Directors:
Abstract EN:
All collective spatial manifestation of a process or a estate is realised under a spatial conception, formal and unconscious, that must be interpreted like an attribute of a collective think. The megalithic constructions, like a reference of one only architectonic aspect, are a special kind of manifestation present around the time and the space; his investigation will do possible the validation of this hypothesis. The tomb's form and his location in a landscape must show us the same kind of formal references that let us develop a model about an abstraction of the essential of this fundaments, and her associated representation. In NW Iberia, a certain degree of the knowledge about this type of this funerary prehistoric buildings (group of constructions with a mound appearance often called megalithic) favour the application, the illustration and the authentication of this theory. The similar appearance of the tumular constructions allow the determination of the different tendencies of disposition in their environment. When the different concepts hides under the distinct emplacements are identified, it's possible anticipate the architectural design of each style. The result will be a matrix that, making a correspondence between the structures and the environments, can be the reflex at least of two thought's extremes, completely different in the builder societies of the tumular forms. The archeographical consequence more important will be the elaboration of a model outside the classic typological orders utilised in the prehistoric synthesis of the NW. This new model allow to break the wrong unity solidify in this context and open a door for an introduction of the galician mounds in the standards orders archeographical in Europe.
Abstract FR:
Toute manifestation spatiale collective d'un état ou d'un processus, quelque soit l'échelle, est régie par une conception inconsciente et formelle de l'espace attribuée à une pensée collective. Le mégalithisme, en tant que référence à la généralité d'une ressemblance architectonique, implique un certain type de manifestation diffusée à travers le temps et l'espace; par conséquent, son étude va rendre possible la vérification de cette hypothèse. Tant la forme que la disposition dans un environnement habite devraient enregistrer le même type de référence, s'inscrire dans une forme commune de références qui permettrait le développement d'un modèle qui fasse abstraction de l'essentiel de ces fondements, et suppose donc une représentions de ceux-ci. Dans le NW ibérique, un degré déterminé de connaissances de ce genre de manifestations funéraires de la préhistoire (ensemble de gisements de forme tumulaire que l'on appelle en général mégalithiques) favorise l'application, l'illustration et la validation de la théorie. L'apparence semblable de ces constructions tumulaires du no ibérique rend possible la détermination des diverses tendances dans la disposition de leur environnement. Une fois isolées les différences entre les conceptions qui impliquent certains emplacements, on peut prévoir les dessins correspondants. Le résultat sera une matrice qui, en établissant une correspondance entre les structures et les environnements, puisse être le reflet d'au moins deux extrêmes de la pensée tout à fait distincts dans les sociétés responsables des formes tumulaires de ces caractéristiques. La conséquence archéographique la plus remarquée sera la mise en œuvre d'un modèle de dessins architectoniques en dehors du modèle classique, traité dans la synthèse totale et actuelle de la préhistoire du NW ibérique. Ce modèle permettra de désagréger une fois pour toutes la fausse unité cristallisée dans ce contexte pour ainsi introduire ce moment de l'histoire du no dans les courants et les ordres archéographiques européens.